Madame Yolande James, ministre de la Famille et des Ainés Hotel du Gouvernement. Québec. Qc. Re: vos directives pour implanter l’absence obligatoire de religion. Voilà qu’encore une fois, vous attaquez sournoisement la Religion qu’il vous faut extirper des tréfonds de des méninges de notre pauvre société. La religion de remplacement “ politicaly correct” l’exige car il ne peut y avoir deux religions. Dans l’état où le Québec en est, selon vous, il faut continuer à éradiquer toute référence au Christianisme, à cette religion de nos ancêtres qui obligeait ces citoyens à être responsables, honnêtes, charitables. Non aujourd’hui, il faut des personnes coupées de toutes références extérieures et surtout de la dimension religieuse. Et comme l’État s’est arrogé le pouvoir d’éduquer les rejetons alors que cette responsabilité n’appartient pas à l’État mais aux parents uniquement, on se sert d’un autre ministère, celui de l’Éducation pour s’assurer que ce bon peuple ne puisse officiellement s’abreuver à la culture universelle qui inclut toutes les notions de religion, d’histoire dans tous les secteurs d’activité humaine. Nos gouvernements depuis la Révolution tranquille ont été possédés et dirigés par des “wall street occupyers” qui, avant le temps, ont imposé l’altruisme de l’État, qui ont transformé notre pauvre société en fourmillière socialiste où la mémoire collective se réduit aux “quelques centimes” que ces fourmis que l’on nous oblige d’être, peuvent continuer à posséder sans que ces États fédéral et provinciaux de conception soviétique depuis Trudeau et Lesage et depuis ceux qui suivirent, ne viennent les leurs ravir au nom de la multitude !! Je comprends pour quelles raisons les jeunes ne lisent que des ouvrages scientifiques et encore : ils ne parviennent plus à comprendre à cause de cette culture tronquée qu’on leur infuse, les multiples concepts qui font référence entre autre à la religion catholique ou chrétienne. Imaginez par exemple un jeune venant de nos écoles se mettant à lire le poême “Napoléon II” de Victor Hugo. Il sera vite perdu dans les références au -Mont-Sinaï-, au -ciel-, au -Seigneur-, à -l’Éternel-, à -Dieu-, au -mystère-, à -béni-, termes qui reviennent dans le texte du grand poète. Comment ces jeunes peuvent avoir un plaisir à participer à cette culture véritable et universelle et non pas à ce fouilli de soi-disant culture populaire où les récipiendaires se regardent le cul et leur vulgaire caractéristiques et ce, avec des subventions étatiques. Mais tant que l’État usurpera les droits des parents dans l’éducation des enfants, comme les Lois actuelles le prescrivent, nous serons aux prises avec une inculture généralisée et systématique. Et cet inculture à la OWS qui émane de notre gauche, fait constater que l’actuel gouvernement socialiste Charest fait que l’entreprenariat au Québec est en chûte libre. Pas un instant, nos gouvernements péquiste ou libéral n’en sont venus à saisir que l’intrusion tout azimut des États fédéral et québécois dans les champs de compétences des entrepreneurs, était la source de cette disparition de l’entrepreneur-ship ! Qui voudrait aujourd’hui se risquer à entreprendre différentes actions ou production de biens de quelques natures, quand on sait que l’État invente à tout instant et sans aucune restriction, des moyens de contrôle, des restrictions, des enfarges de toutes sortes. Et notamment des restrictions fiscales qui font perdre aux entrepreneurs, les profits envisagés. Mais comme nous avons cette conception arriérée que les profits sont mauvais et immoraux, on les permet uniquement pour l’Hydro-Québec qui finance les politiques à fonds perdus de l’État du Québec. Mais il demeure que l’État n’a plus de limite et nos progressistes à la noix, entérinent cette conception qui fait que la fonction publique, syphonne toutes nos énergies financières pour engraisser cette fonction publique en majeur partie, inutile. Pensons aux différents fonds de pensions de nos fonctionnaires, de nos policiers et de nos pompiers et de nos élus. L’État paye sans avoir calculé des sommes dont il n’a pas les moyens. Pensons à tous ces bonzes qui après avoir pris leur pension, reviennent comme contractuels, empêchant ainsi la relève d’avancer. Ou vous devriez être à l’emploi ou à votre retraite. Si vous voulez travailler durant la retraite, alors travailler ailleurs qu’au service de l’État. Assez c’est assez. Madame la ministre de la Famille, vous et vos collègues du gouvernement faites bien pitié depuis que l’ancien ministre de l’Éducation maintenant Ministre de la Justice, a lancé notre province sur le chemin de l’intolérance religieuse en évacuant la dimension chrétienne de l’Éducation en général. Votre position est intenable et ne fait que rapetisser notre peuple culturellement et humainement. Mais de votre formation politique trop peureuse pour afficher ouvertement ses convictions socialistes, on ne pouvait pas s’attendre à ce que vous cessiez d’induire en erreur la population en dénommant votre parti “parti socialiste du Québec” plus tôt que de conserver le nom de “Parti Libéreal du Québec” ! Votre parti aurait du changer de nom il y a plusieurs décennies et les québécois auraient su qu’elles étaient vos valeurs. Votre parti n’a rien de libéral à part d’être à ce point laxiste pour laisser le socialisme s’installer par la grande porte ouverte. Et si vous contestez ces assertions, expliquez-moi comment il se fait que les producteurs agricoles du Québec sont obligatoirement inféodés à l’UPA alors que la liberté d’association apparaissant à nos Chartes des droits et libertés, leur a été enlevée par les Lois M-35.1 et P-28 ? Alors que les producteurs agricoles n’ont pas cette liberté reconnue à tous les syndiqués, de voter en faveur ou de rejeter le projet de convention collective (ici de convention de mise en marché) alors que le gouvernement a mis en place un système de dictature judiciaire exercé par la Régie des Marches alimentaires, qui impose une convention de mise en marché sans que le producteur individuellement n’ait un mot à dire, n’est un vote à donner. Bien à vous, Luc Racicot, Shefford. Qc. Le 19 novembre 2011.

Madame Yolande James, ministre de la Famille et des Ainés Hotel du Gouvernement. Québec. Qc. Re: vos directives pour implanter l’absence obligatoire de religion. Voilà qu’encore une fois, vous attaquez sournoisement la Religion qu’il vous faut extirper des tréfonds de des méninges de notre pauvre société. La religion de remplacement “ politicaly correct” l’exige car il ne peut y avoir deux religions. Dans l’état où le Québec en est, selon vous, il faut continuer à éradiquer toute référence au Christianisme, à cette religion de nos ancêtres qui obligeait ces citoyens à être responsables, honnêtes, charitables. Non aujourd’hui, il faut des personnes coupées de toutes références extérieures et surtout de la dimension religieuse. Et comme l’État s’est arrogé le pouvoir d’éduquer les rejetons alors que cette responsabilité n’appartient pas à l’État mais aux parents uniquement, on se sert d’un autre ministère, celui de l’Éducation pour s’assurer que ce bon peuple ne puisse officiellement s’abreuver à la culture universelle qui inclut toutes les notions de religion, d’histoire dans tous les secteurs d’activité humaine. Nos gouvernements depuis la Révolution tranquille ont été possédés et dirigés par des “wall street occupyers” qui, avant le temps, ont imposé l’altruisme de l’État, qui ont transformé notre pauvre société en fourmillière socialiste où la mémoire collective se réduit aux “quelques centimes” que ces fourmis que l’on nous oblige d’être, peuvent continuer à posséder sans que ces États fédéral et provinciaux de conception soviétique depuis Trudeau et Lesage et depuis ceux qui suivirent, ne viennent les leurs ravir au nom de la multitude !! Je comprends pour quelles raisons les jeunes ne lisent que des ouvrages scientifiques et encore : ils ne parviennent plus à comprendre à cause de cette culture tronquée qu’on leur infuse, les multiples concepts qui font référence entre autre à la religion catholique ou chrétienne. Imaginez par exemple un jeune venant de nos écoles se mettant à lire le poême “Napoléon II” de Victor Hugo. Il sera vite perdu dans les références au -Mont-Sinaï-, au -ciel-, au -Seigneur-, à -l’Éternel-, à -Dieu-, au -mystère-, à -béni-, termes qui reviennent dans le texte du grand poète. Comment ces jeunes peuvent avoir un plaisir à participer à cette culture véritable et universelle et non pas à ce fouilli de soi-disant culture populaire où les récipiendaires se regardent le cul et leur vulgaire caractéristiques et ce, avec des subventions étatiques. Mais tant que l’État usurpera les droits des parents dans l’éducation des enfants, comme les Lois actuelles le prescrivent, nous serons aux prises avec une inculture généralisée et systématique. Et cet inculture à la OWS qui émane de notre gauche, fait constater que l’actuel gouvernement socialiste Charest fait que l’entreprenariat au Québec est en chûte libre. Pas un instant, nos gouvernements péquiste ou libéral n’en sont venus à saisir que l’intrusion tout azimut des États fédéral et québécois dans les champs de compétences des entrepreneurs, était la source de cette disparition de l’entrepreneur-ship ! Qui voudrait aujourd’hui se risquer à entreprendre différentes actions ou production de biens de quelques natures, quand on sait que l’État invente à tout instant et sans aucune restriction, des moyens de contrôle, des restrictions, des enfarges de toutes sortes. Et notamment des restrictions fiscales qui font perdre aux entrepreneurs, les profits envisagés. Mais comme nous avons cette conception arriérée que les profits sont mauvais et immoraux, on les permet uniquement pour l’Hydro-Québec qui finance les politiques à fonds perdus de l’État du Québec. Mais il demeure que l’État n’a plus de limite et nos progressistes à la noix, entérinent cette conception qui fait que la fonction publique, syphonne toutes nos énergies financières pour engraisser cette fonction publique en majeur partie, inutile. Pensons aux différents fonds de pensions de nos fonctionnaires, de nos policiers et de nos pompiers et de nos élus. L’État paye sans avoir calculé des sommes dont il n’a pas les moyens. Pensons à tous ces bonzes qui après avoir pris leur pension, reviennent comme contractuels, empêchant ainsi la relève d’avancer. Ou vous devriez être à l’emploi ou à votre retraite. Si vous voulez travailler durant la retraite, alors travailler ailleurs qu’au service de l’État. Assez c’est assez. Madame la ministre de la Famille, vous et vos collègues du gouvernement faites bien pitié depuis que l’ancien ministre de l’Éducation maintenant Ministre de la Justice, a lancé notre province sur le chemin de l’intolérance religieuse en évacuant la dimension chrétienne de l’Éducation en général. Votre position est intenable et ne fait que rapetisser notre peuple culturellement et humainement. Mais de votre formation politique trop peureuse pour afficher ouvertement ses convictions socialistes, on ne pouvait pas s’attendre à ce que vous cessiez d’induire en erreur la population en dénommant votre parti “parti socialiste du Québec” plus tôt que de conserver le nom de “Parti Libéreal du Québec” ! Votre parti aurait du changer de nom il y a plusieurs décennies et les québécois auraient su qu’elles étaient vos valeurs. Votre parti n’a rien de libéral à part d’être à ce point laxiste pour laisser le socialisme s’installer par la grande porte ouverte. Et si vous contestez ces assertions, expliquez-moi comment il se fait que les producteurs agricoles du Québec sont obligatoirement inféodés à l’UPA alors que la liberté d’association apparaissant à nos Chartes des droits et libertés, leur a été enlevée par les Lois M-35.1 et P-28 ? Alors que les producteurs agricoles n’ont pas cette liberté reconnue à tous les syndiqués, de voter en faveur ou de rejeter le projet de convention collective (ici de convention de mise en marché) alors que le gouvernement a mis en place un système de dictature judiciaire exercé par la Régie des Marches alimentaires, qui impose une convention de mise en marché sans que le producteur individuellement n’ait un mot à dire, n’est un vote à donner. Bien à vous, Luc Racicot, Shefford. Qc. Le 19 novembre 2011.