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Premier grand rôle au petit écran

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26 janvier 2014
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Par Claudy Laplante-St-Jean

Après avoir obtenu son premier rôle au cinéma, l'an dernier, dans Hot Dog, la Chamblyenne Émilie-Rose Laplante fait le saut au petit écran dans la peau de Chloé, la jeune fille de Benoît Brière et Mélanie Maynard, dans 30 vies à Radio-Canada.

«Dès l'audition, je me sentis bien dans mon personnage. Mes parents sont vraiment gentils et c'est le fun de tourner avec eux», lance d'emblée la comédienne, qui interprète Chloé, une élève qui ne veut pas se trouver à l'école alternative avec sa mère comme enseignante et dont le directeur est nul autre que Rémy Girard.

L'élève de sixième année à l'école de Bourgogne, qui est devant la caméra environ une journée par semaine depuis la mi-décembre, n'a pas de difficultés à joindre ses tournages et ses études. «Quand je suis à l'école, je reste concentrée sur l'école», confie Émilie-Rose.

Son excellente mémoire est un aussi un atout dans le processus, alors qu'elle apprend ses textes deux semaines à l'avance. «Mon truc, c'est de mémoriser les phrases avant, puis d'y ajouter l'émotion», explique-t-elle.

Une fois le tournage complété, le travail n'est pas encore fini pour la perfectionniste. «Chaque fois que je me regarde à la télévision, je trouve ce que je pourrais faire mieux», précise celle qui admire beaucoup le comédien Paul Doucet, avec lequel elle a pu jouer dans le film Hot Dog.

Un vieux rêve qui se réalise

Émilie-Rose souhaite être comédienne depuis qu'elle est haute comme trois pommes.

«Je veux faire ça depuis que j'ai 4 ans. À 5 ans, je tournais ma première publicité. C'était pour Canadian Tire», se rappelle la jeune artiste, le sourire aux lèvres.

Déjà à 11 ans, la comédienne possède un CV bien rempli; ateliers sur la télévision, la publicité, sur le jeu devant la caméra, cours de danse, publicités, narration, courts métrages, émissions de télé, film.

Toutefois, le jeu reste un loisir pour celle qui aimerait un jour pouvoir interpréter le rôle d'une vampire ou bien d'une comique.

«Ce n'est pas toujours facile. C'est beaucoup de travail et de déceptions. Elle adore ça et elle ne se démotive jamais», confie  la maman d'Émilie.

De son côté, la principale intéressée conseille à ceux qui aimeraient un jour faire de la télévision de toujours travailler fort, d'être patients et de ne jamais s'arrêter.

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