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Problèmes cardiaques : comment les éviter ?
Par Texte commandité
80% des AVC prématurés et des crises cardiaques sont évitables selon l’OMS. Si les facteurs de risques dépendent du sexe, de l’âge, de l’hérédité et du mode de vie, l’alimentation, l’activité et l’éviction de conduites à risques sont la base de toute prévention, entre autres.
L’alimentation, le secret de la santé du cœur
Une alimentation variée et équilibrée protège le cœur et l’appareil circulatoire. Consommez des fruits et des légumes en quantité suffisante, des céréales, des viandes maigres type volaille, du poisson et des légumineuses. Dans le même temps, diminuez le sucre, le sel et le gras.
Le risque d’AVC est multiplié par 5 chez les fumeurs dont le tabac encrasse les artères. Mais ce risque diminue de moitié dès une année de sevrage. Ça vaut le coup d’y penser.
Évitez aussi le surpoids, mais sans entamer de régime sévère. Mieux vaut maigrir lentement en réduisant les quantités et en supprimant les gâteaux et sucreries, mais aussi les aliments transformés. Limitez l’alcool.
L’activité physique pour la santé cardiovasculaire
Mieux vaut être un peu fort et faire du sport que maigre et sédentaire. L’activité physique est essentielle à la santé, au moins 30 minutes par jour. Marcher, nager, s’équiper dans un magasin de vélo sont recommandés. Prévoyez des séances de sport d’une heure au moins deux à trois fois par semaine pour garder votre poids de forme.
Le bilan de santé pour évaluer ses risques
Des tableaux assez simples permettent d’évaluer les risques cardiaques à 10 ans en précisant même le taux de ces risques. Ainsi, connaître sa tension artérielle, principal indicateur de l’AVC et de la crise cardiaque, est important. Si elle est élevée, un changement de mode de vie est préconisé. Les diabétiques notamment doivent la contrôler régulièrement. Le taux de lipides, révélateur du cholestérol, augmente les risques, ainsi que le taux de glycémie dans le sang.
La gestion du stress
Le stress est un facteur déclenchant de l’accident cardiaque. Là encore, la pratique d’un sport peut apaiser, le yoga ou la méditation.
L’activité sexuelle favorise la production de sérotonine, de la dopamine et des endorphines dont les effets sont antidépresseurs et relaxants. Les abstinents sont donc plus exposés.
Au besoin, un accompagnement psychologique peut vous aider à mieux gérer votre stress.
Une bonne hygiène de vie vous protège donc. Pensez aussi à ralentir le rythme effréné de vos journées professionnelles pour prendre le temps de vous occuper de vous.
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