Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Nourrir les chats du programme CSRM

Nourrir les animaux errants à Chambly : rappel de la réglementation

durée 15h07
5 juin 2022
ici

commentaires

ici

likes

imprimante
email
Par Catherine Deveault

La Ville de Chambly rappelle l’importance de s’abstenir de nourrir les animaux errants, pour la conservation de la faune, le respect du bien-être animal et l’application de la réglementation municipale.

La réglementation précise qu’il est interdit de laisser de la nourriture à l’extérieur pouvant attirer ou nourrir des animaux sauvages ou domestiques, sur le territoire de la Ville.

Comme le souligne le ministère des Forêts, de la faune et des parcs, nourrir les animaux sauvages peut augmenter le risque de transmission de maladies et de parasites; créer de mauvaises habitudes chez les animaux de la faune, qui deviennent dépendants de l’humain; et nuire à leur santé. En milieu urbain, beaucoup ont tendance à croire que les animaux sauvages manquent de nourriture, et interviennent avec de bonnes intentions. Toutefois, ces animaux sont bien présents dans nos quartiers, car ils y trouvent d’eux-mêmes l'ensemble des éléments essentiels à leur survie dans la nature, incluant de quoi se nourrir.

Nourrir les chats du programme CSRM

Un programme de stérilisation de chats errants est offert sur le territoire de la municipalité, en partenariat avec la SPCA Roussillon. Le programme, nommé Capture-Stérilisation-Retour-Maintien (CSRM), vise à adresser la surpopulation de chats sans propriétaire dans la région.

Seuls les citoyens inscrits à ce programme ont l’autorisation de nourrir et d’offrir un abri aux chats errants, tout en travaillant avec la SPCA Roussillon pour les faire stériliser, puis les remettre en liberté sur leur territoire.

Les citoyens qui souhaitent s’occuper de chats dans leur voisinage, ou qui le font déjà, sont invités à se renseigner sur le programme CSRM et à y adhérer gratuitement, en se rendant sur le site spcaroussillon.com/csrm, ou en communiquant avec le refuge.

Mangeoires à oiseaux conformes au règlement

Le règlement municipal encadre également l’utilisation de mangeoires suspendues pour petits oiseaux.

  • Elles doivent être à l’épreuve de tout autre type d’animal.
  • Les mangeoires de type plateau, ou toute autre mangeoire ouverte où la nourriture est simplement étendue sur une planche ou sur le sol, sont spécifiquement interdites.
  • Le nombre de mangeoires est limité à trois par immeuble.
  • Elles sont permises uniquement dans la cour arrière et latérale, à un minimum de deux mètres des limites de terrain.

Ultimement, la municipalité encourage la cohabitation harmonieuse avec les animaux sauvages, tout en veillant à ce que les pratiques de tous et chacun ne causent pas de nuisances pour leurs voisins.

En ce qui concerne les animaux domestiques, la SPCA Roussillon rappelle l’importance de la micropuce et de la médaille municipale, afin que ceux-ci soient identifiés facilement s’ils s’égarent chez un voisin. Si un animal errant est aperçu sur le territoire de Chambly, il est recommandé de communiquer avec le refuge au 450 638-9698 ou [email protected] pour obtenir des conseils.

RECOMMANDÉS POUR VOUS


Publié hier à 15h00

Les pharmaciens d'hôpitaux et en CHSLD votent pour des moyens de pression

En colère face à l'inaction du gouvernement dans les négociations pour renouveler leur entente de travail, les pharmaciens d'établissement ont voté à 99 % en faveur d'un mandat pour mettre en œuvre des moyens de pression au moment qu'ils jugent opportun. Près de 1200 pharmaciens qui travaillent en milieu hospitalier ainsi que dans les CHSLD et ...

Publié hier à 12h00

L'ARC recrutera 1700 employés pour ses centres d'appels

L’Agence du revenu du Canada (ARC) cherche à embaucher ou à réembaucher environ 1700 employés pour ses centres d'appels au cours des prochains mois afin de gérer l'afflux d'appels pendant la prochaine saison des impôts. Melanie Serjak, sous-commissaire adjointe à l'ARC, a déclaré mercredi aux journalistes que l'agence visait à atteindre un total ...

Publié le 10 décembre 2025

Selon une étude, la crise du logement coûte 2 milliards $ par année en coûts de santé

La crise du logement coûte, au bas mot, quelque 2 milliards $ annuellement au système de santé du Québec, selon les calculs de l’Observatoire québécois des inégalités. C’est là la grande conclusion du deuxième volet d’une vaste étude économique de l’Observatoire intitulé «Les coûts en santé du manque de logements adéquats». En septembre dernier, ...