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Dans l’univers de Marie-Ève Larivière alias Gina et Tatiana de Kaboum

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10 septembre 2011
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Par Nathalie Paquin

Karmadors, Krashmals, Rodamraks... Si ces termes vous sont familiers, vous l'êtes aussi avec l'univers fantastique de l'émission jeunesse Kaboum. Le Chambly Express.ca s'est entretenu avec la comédienne principale, Marie-Ève Larivière, alias Gina et Tatiana.

Pendant six ans, Marie-Ève Larivière s'est glissée dans la peau de ces deux personnages de Kaboum, diffusé du lundi au jeudi à Télé-Québec. Émission qui tournait récemment ses toutes dernières scènes à vie. «Pour moi, ça fait un très gros pincement au cœur. On a marqué l'imaginaire de toute une génération», mentionne la jeune comédienne au regard pétillant. 

Ses parents ayant déjà été propriétaires d'un centre de plein air, Marie-Ève a beaucoup évolué avec les jeunes. Diplômée du Conservatoire d'art dramatique de Québec il y a dix ans, elle a aussi effectué un DEC en cinéma. Des atouts qui lui ont rapidement ouvert les portes d'un métier qui la fascine, elle qui se dit particulièrement attirée par le jeu. «J'aime la comédie, être en gang, s'amuser sur scène et entendre le public rire.»

L'été dernier, la jeune femme a joué au théâtre à Terrebonne. Et on pourra la voir dans le rôle complexe de Mademoiselle Julie (de l'écrivain August Strindberg), sur les planches de la Salle Fred-Barry du Théâtre Denise-Pelletier à Montréal, du 16 novembre au 3 décembre prochains.

Une belle histoire d'amour avec son public

Marie-Ève avoue être très choyée par le métier. Elle entretient d'ailleurs une belle connivence avec son jeune public et avec les parents: «Je me fais souvent arrêter par des parents que je croise dans la rue, et qui me parlent des épisodes de Kaboum, de mes personnages... Quand on fait ce métier avec sincérité, la relation est vraiment immédiate. Cela fait chaud au cœur; on devient un modèle.»

Des marques d'amitié et d'affection qui trouvent aussi écho sur les réseaux sociaux. «J'ai beaucoup d'amis sur Facebook qui sont des enfants», poursuit-elle. Et parmi les questions que lui pose son jeune public, celle-ci qui revient souvent: «Es-tu la vraie ?» «Prouve-le!» Aussi, elle reçoit parfois des demandes de parents ayant des enfants avec des difficultés particulières.

La jeune trentaine et déjà une feuille de route enviable, Marie-Ève Larivière poursuit sa carrière avec une réelle passion...

 

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