Sursis de sentence pour Mitchell, accusé de menaces de mort envers le premier ministre Charest
Par Yves Bélanger
Le Richelois Robert Mitchell n'aura pas de sentence malgré qu'il ait été reconnu coupable de menaces de mort envers le premier ministre Jean Charest. Toutefois, il sera en probation pour trois ans avec un suivi de deux années.
Le vendredi 2 décembre, au Palais de justice de Québec, l'homme de 52 ans a été accusé d'avoir menacé de causer des dommages au bureau du député de Chambly, Bertrand Saint-Arnaud. Il a également été reconnu coupable d'avoir proféré des menaces de mort à l'endroit du premier ministre Jean Charest. Robert Mitchell a toutefois été acquitté d'un chef d'accusation de menaces de mort à l'endroit du député de Chambly.
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