La CAQ mise sur l’entrepreneuriat

Par Claudy Laplante-St-Jean
Réunis chez Dame Tartine à Chambly, le candidat de la Coalition avenir Québec (CAQ), Martin Trudeau, ainsi que ceux de Borduas, Emmanuelle Géhin, de Laporte, Donald Leblanc et de Granby, François Bonnardel, ont annoncé les principaux enjeux de leur parti dans la présente campagne électorale, dont le développement de l’entrepreneuriat au Québec.
« Je suis en mesure de comprendre les enjeux locaux. Je les vis au quotidien avec ma famille. Je veux m’assurer que le comté soit bien représenté », a lancé d’entrée de jeu M. Trudeau, résidant de Chambly. Celui-ci a ajouté que le Québec devait être une culture d’entreprises et que le développement de l’entrepreneuriat aiderait à faire de la province, un Québec actif, prospère et « qui nous appartient ».
Son collègue, M. Bonnardel a pris la relève en indiquant que si la CAQ était au pouvoir, elle ferait en sorte que des cours de finance, d’économie et d’entrepreneurship seraient enseignés aux élèves obligatoirement dès le secondaire quatre pour pallier au manque de connaissances.
Un guichet unique, Investissement Québec, serait créé pour que les entrepreneurs aient accès directement au crédit d’impôt. Le guichet travaillerait aussi en collaboration avec les Centres locaux de développement et les Chambres de commerce.
La valorisation de la formation professionnelle serait mise de l’avant par un gouvernement caquiste. « Il faut que nos enfants sachent qu’un bon plombier peut lui aussi gagner 60 000 $ », a expliqué M. Bonnardel en ajoutant que ce point aiderait au manque de formation de la main-d’œuvre.
Des mesures comme l’horaire d’école de 9 h à 17 h, l’abolition des commissions scolaires et l’achat local ont aussi été abordées
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