Santé, éducation, corruption et cie pour Trudeau

Par Claudy Laplante-St-Jean
« C’est anormal que les jeunes aient à finir leur secondaire dans une autre ville. Il faut que l’école secondaire soit complète », a lancé le candidat caquiste dans Chambly, Martin Trudeau, qui avait convoqué la presse devant l’école secondaire de Chambly pour annoncer ses enjeux locaux, dont l’éducation fait partie, lundi matin.
En plus de l’éducation, le candidat souhaite s’attaquer à quatre autres enjeux, dont les projets municipaux, la santé, l’environnement et la corruption.
« La corruption, c’est la première raison qui m’a poussé à me lancer en politique. Je veux participer activement au ménage pour que la population retrouve confiance envers les élus », a ajouté le résidant de Chambly en précisant qu’il souhaitait aussi revoir le financement des partis politiques.
Pour ce qui en est des projets municipaux, M. Trudeau a mentionné, entre autres, vouloir représenter les villes de la circonscription sur divers projets dont la réfection de la route 133 à Richelieu, l’arrivée d’un bureau de la SAQ à Chambly et le retour d’une navette fluviale de Beloeil à Chambly.
Du côté de la santé, celui-ci a confirmé son désir que tous les Québécois aient accès à un médecin de famille, à l’instar de ses collègues de la Coalition avenir Québec.
En environnement, le père de famille a indiqué qu’il aimerait travailler avec les citoyens et les écologistes pour que le développement soit fait en respect de la nature, de la faune et de la flore, dont les milieux naturels rares.
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