Les élections provinciales déclenchées plus tôt que prévu?
Jean-François Roberge et son équipe déjà la rencontre des citoyens

Par Salle des nouvelles
Loin d’être déstabilisé par les rumeurs de déclenchement hâtif de la campagne électorale, le député et candidat de la Coalition Avenir Québec dans Chambly, Jean-François Roberge et son équipe sont plus motivés que jamais en vue des prochaines élections provinciales, qui doivent culminer par un scrutin le 1er octobre prochain.
Dans Chambly, le député peut déjà compter sur une solide organisation pour l’appuyer dans sa campagne. « Nous avons déjà choisi un local électoral, qui devrait être ouvert sous peu, notre matériel de campagne, et une solide équipe de bénévoles pour aller à la rencontre des citoyens de Chambly, Saint-Basile-le-Grand, Carignan, Richelieu et Saint-Mathias. Nous sommes prêts pour la campagne, qu’elle commence le 29 août, comme prévu, ou même demain matin! », d’assurer Jean-François Roberge.
Le député-candidat caquiste, qui n’a pas attendu le déclenchement pour aller à la rencontre de ses commettants, se dit d’ailleurs encouragé par la réception des citoyens sur le terrain. « Plus la campagne électorale se rapproche, plus l’accueil des citoyens sur le terrain est chaleureux. Ça promet! »
« Une ultime astuce qui ne sauvera pas les libéraux »
Pour Jean-François Roberge, le possible déclenchement hâtif de la campagne électorale « n’est qu’une ultime astuce de la part des libéraux. Ces quelques jours supplémentaires de campagne électorale ne feront pas oublier leurs échecs en Santé, en Éducation, en Économie à la population. Les Québécois ne sont pas dupes. »
Jean-François Roberge tient d’ailleurs à souhaiter la bienvenue à son adverse libéral dans Chambly, dont l’identité sera connue ce mercredi 8 août. Celui-ci pense cependant qu’il sera difficile, pour lui, de défendre quinze ans de gouvernance libérale dans la région. « Que ce soit à Chambly ou Saint-Basile-le-Grand, la soif de changement, d’intégrité, le désir de faire mieux pour le Québec est très fort », de conclure Jean-François Roberge.
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