Stationnement incitatif : 85 nouvelles cases au

Par Claudy Laplante-St-Jean
Après avoir été agrandi deux fois, le parc incitatif de Chambly, qui déborde, s'étendra maintenant jusque dans le stationnement du Marché IGA Lambert, qui a accepté de laisser 85 de ses places à la disposition des usagers du transport en commun.
« On ne se le cachera pas, on est un peu victime de notre succès. On avait de la pression parce qu'il y avait du débordement sur les rues autour du parc. On était bien conscient du problème et on travaillait là-dessus », explique le maire de Chambly, Denis Lavoie à propos du stationnement du boulevard Fréchette.
« À 7 h 30, le stationnement est plein. Certaines personnes se stationnaient de façon illégale dans le parc et recevaient des contraventions. On avait identifié un besoin d'au moins 70 places », continue Serge Gélinas, président du CIT Chambly-Richelieu-Carignan.
Celui-ci a rencontré le responsable du Marché IGA Lambert, qui a accepté de laisser à la disposition 85 cases, ce qui porte le nombre total d'espaces à 585 pour l'instant. D'ailleurs depuis que cette mesure a été mise en place il y a quelques jours, le débordement serait contrôlé, selon M. Gélinas.
« Ce geste démontre que nous sommes à l’écoute et que notre commerce a à cœur les intérêts de la ville. Il nous fait plaisir de collaborer et d’agir en bon citoyen corporatif », confie Dorian Lanoix, directeur du Marché IGA Lambert à Chambly.
@ST:Endroits identifiés seulement
La Ville demande la collaboration des usagers afin qu'ils respectent les endroits désignés pour y laisser leur voiture, afin de bien collaborer avec la clientèle de l'établissement. Les cases sont identifiées à l'effigie du Blus.
Entre-temps, la municipalité continue de travailler avec l'AMT, afin de trouver des mesures de mitigation. Dans six mois, l'entente entre la Ville et le Marché IGA Lambert sera à renouveler et à réadapter.
« Est-ce que tous les problèmes sont réglés ? Non. On a jamais cessé et on ne cessera pas de travailler pour améliorer le transport en commun », conclut Denis Lavoie.
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