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Jocelyne Lecavalier donne son appui au camp du OUI

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25 septembre 2011
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L'ex-mairesse de Carignan, Jocelyne Lecavalier, est sortie de l'ombre mercredi dernier par le biais d'une lettre adressée au Chambly Express.ca. Elle donne son appui au camp du OUI dans le cadre du référendum qui se tiendra le 2 octobre et invite les citoyens à aller voter en grand nombre.

« Je ne suis pas de nature à intervenir dans les médias pour débattre une question ou exprimer mes opinions. Cependant, devant la tournure du débat référendaire actuel à Carignan, il est devenu impossible pour moi de garder le silence plus longtemps. » L'ex-mairesse explique que la gérance d'une ville exige de dépasser ses intérêts propres et de travailler au bien commun de l'ensemble de la population, aujourd'hui et demain.

Elle souligne qu'un NON aux deux nouveaux règlements de zonage et de développement proposés signifiera un recul de plusieurs années dans le développement de la municipalité et que cela aura des conséquences majeures sur les taxes à payer des Carignanois. « Les coûts de tous les services municipaux essentiels augmentent d'une façon considérable depuis des années. La Ville doit en plus absorbés des factures dont les coûts sont imposés par les instances régionales telles que la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), la MRC, la Régie de police, le service incendie, le CIT pour le transport autobus, et l'Agence métropolitaine de transport (AMT). »  

Jocelyne Lecavalier estime que pour maintenir les comptes de taxes bas, il faudra absolument que la Ville augmente ses revenus. « Ce n'est un secret pour personne. Pour ce faire,  Carignan à deux solutions. Stratégiquement, elle doit favoriser un développement domiciliaire et commercial contrôlé qui lui procurera une plus grande valeur foncière imposable. Dans le cas où elle ne peut développer, elle devra tout simplement imposer des hausses de taxes à tous les contribuables. »

Elle termine en assurant qu'en votant OUI, les Carignanois s'offrent un bel avenir à des coûts acceptables et dans un esprit de bon voisinage. « Nous, citoyens de Carignan, avons eu l'occasion de nous établir à Carignan, sans pour autant détruire le caractère champêtre. Qui sommes-nous pour interdire à d'autres familles de nous imiter et de venir vivre à Carignan. On peut facilement retrouver 2 à 3 générations d'une même famille vivant dans notre ville et si c'était un de nos enfants qui voulait s'y installer, refuseriez-vous ? »

La conseillère Bisaillon-Marcil se prononce aussi en faveur du OUI

La conseillère du district 3, Louise Bisaillon-Marcil, a également joint officiellement les autres conseillers municipaux militant pour le OUI, Elena Sanchez (2), Marguerite Roussel (4), Patrick Marquès (5) et Hélène Hayeur-Cat (6).  « Un développement domiciliaire contrôlé par des règlements municipaux plus sévères est bien plus à l'avantage de tous les citoyens de Carignan qu'un blocage systématique », a mentionné la conseillère.

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